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Les saints
n°216

Bassin méditerranéen

1305 – 1366

Saint Pierre Thomas : une confiance en la Vierge Marie à toute épreuve

Pierre Thomas est un frère carme qui a vécu au XIVe siècle. Né dans une famille très pauvre dans le Périgord, il parvient néanmoins à étudier et est remarqué pour ses compétences intellectuelles aussi bien que pour sa vertu, sa piété et sa dévotion mariale. Il occupe différentes charges importantes au sein de l’ordre des Carmes. À partir de 1353, le pape Innocent VI lui confie également des missions diplomatiques, œuvrant pour établir la paix et l’unité religieuse. Il tombe gravement malade en décembre 1365 ; peu avant de mourir, il dit : « Que soit faite la volonté de Jésus-Christ mon Dieu […]. Je m’attache à lui et avec lui je tiens bon. »

Saint Pierre Thomas, musée des Beaux-Arts de Cordoue / © CC0 wikimedia.
Saint Pierre Thomas, musée des Beaux-Arts de Cordoue / © CC0 wikimedia.

Les raisons d'y croire :

  • Pierre Thomas est d’abord un religieux observant de sa règle qui, par la contemplation qu’elle recommande, le mène à Jésus-Christ. Le père François Giry, religieux minime, décrit ses nombreuses activités et missions (lectures, prédications, confessions, missions diplomatiques, etc.), mais « tout cela ne l’empêcha jamais de se lever à minuit pour chanter les matines avec les autres religieux, ni de célébrer tous les jours de grand matin la sainte messe, et lui-même a confessé qu’il recevait beaucoup plus de lumières en la célébration, et dans les silences de ce sacré mystère, que dans toutes ses autres études » (Simon Martin et François Giry, Les Vies des saints dont on fait l’office dans le cours de l’année et de plusieurs autres..., tome I, Paris, 1683, colonnes 185-186).

  • Pierre Thomas bénéficia d’une apparition mariale, consignée par le vénérable Jean de Hildesheim, qui le servait lorsqu’il était régent du collège en Avignon (1351-1353) et qui raconte ainsi les faits : « Je fus éveillé par de douces voix et un mouvement extraordinaire. Je me levai aussitôt. Je lui demandai [au père Pierre Thomas] alors ce qui était arrivé, mais il ne voulut rien me dire […]. J’obtins enfin à grand-peine une réponse, non sans avoir juré que je ne découvrirai pas ce secret tant qu’il vivrait. Alors, il me dit : "Je me suis endormi l’âme triste et avec de brûlants désirs d’obtenir de la Bienheureuse Vierge protection et sauvegarde pour ma religion. Elle-même m’a répondu : "Pierre, ne crains pas, car notre religion du Carmel durera jusqu’à la fin." […]" En me communiquant cette vision, Pierre Thomas avait les yeux pleins de larmes de joie, et, moi aussi, j’étais ému jusqu’à verser de semblables larmes » (cf. Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, Anvers, 1680, qui reproduit l’ouvrage Defensorium ordinis de monte Carmelo ; ici à la partie II, livre II, chapitre 5, p. 149-150). Depuis la création de l’ordre des Carmes au XIIe siècle, cette promesse est tenue.

  • Entre 1338 et 1339, alors qu’il était enseignant comme lecteur à l’université de Cahors, une grande sécheresse menaçait les récoltes. Pierre Thomas prêche la confiance en Dieu et en Notre Dame, et organise une procession afin de faire demander la pluie. Une pluie très abondante en sera la récompense.
  • C’est la même confiance envers la miséricorde divine et la bonté maternelle de la Sainte Vierge qui le fait organiser à Chypre des processions de supplication et convier les habitants de Nicosie et de Famagouste à des messes de pénitence pour faire cesser l’épidémie de peste de 1561-1562. Le père Giry, que nous avons déjà cité, écrit à ce propos : « Il paraissait le premier couvert d’un sac et d’un cilice, la cendre sur la tête, la corde au cou et les pieds nus » (Simon Martin et François Giry, op. cit., ibid., col. 188) – démarche de prière confiante qu’il adopte avec humilité plusieurs fois au cours de sa vie. « Des Sarrasins, des Turcs, des Juifs, effrayés par le danger, suivaient avec piété le légat. Le miracle ne tarda pas à suivre ses prières : sur deux cents malades trouvés mourants à son arrivée [à Famagouste], un seul succomba. »

  • Jouissant déjà d’une grande réputation de saint de son vivant, après sa mort, le 6 janvier 1366, le corps de Pierre Thomas est exposé six jours durant, afin que les personnes qui le souhaitaient puissent se recueillir devant sa dépouille. Une foule nombreuse est présente chaque jour, et l’on n’observe aucune dégradation du corps pendant ce laps de temps. Quand il est mis en terre, plusieurs personnes relatent des guérisons et d’autres miracles sur sa tombe. Lorsque l’évêque de Famagouste, Simon de Laodicée, entame son procès canonique, sa tombe est ouverte plusieurs mois après sa mort : son corps est entier et ses membres encore flexibles.

Synthèse :

Saint Pierre Thomas n’est guère connu que dans l’ordre des Carmes, et aux alentours de Sarlat. En effet, pendant longtemps, Pierre Thomas ne fut fêté, le 8 janvier, que dans sa congrégation, l’ordre des Carmes, et dans le diocèse de Périgueux, héritier du diocèse de Sarlat depuis la disparition de ce dernier avec le concordat de 1804.

Il naît en 1305 au « village appelé Salimaso de Thomas, du diocèse de Sarlat », au sud du Périgord, dans l’actuel département de la Dordogne. Peut-être est-ce Lebreil, une partie de Salles-de-Belvès, lieu traditionnel du culte du saint ? Ce bourg se trouve à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de l’ancienne ville épiscopale de Sarlat. Vers douze ans, pour soulager sa famille qui était dans une extrême pauvreté, il part à Monpazier, village distant d’une dizaine de kilomètres où, pendant trois ans environ, il fréquente l’école. Il vit d’aumônes et instruit les plus petits. Élève intelligent, il est reçu au collège des Carmes d’Agen, où il demeure jusqu’à l’âge de vingt ans. Nous sommes alors en 1325, environ. La vie carmélitaine intéresse Pierre Thomas, qui s’installe au couvent des carmes de Lectoure, où il enseigne la grammaire et la logique aux écoliers les plus jeunes. Il y commence son noviciat. C’est à Bergerac qu’il prononcera ses vœux solennels, vers 1328-1329. Là, il se dédie encore à l’enseignement pendant deux ans avant de rejoindre Agen, où il est nommé professeur de logique, tout en continuant ses études pour pouvoir être ordonné prêtre en 1331. Toujours assidu à l’étude de la philosophie et de la logique, sur l’avis de ses supérieurs, il se rend à Bordeaux en 1332. L’année suivante, ses pas le mènent à Albi, puis à Agen en 1334, enfin à Paris où il reçoit le grade universitaire de « lecteur » à l’université en 1335-1337. C’est en revanche en la toute jeune université de Cahors, fondée en 1331, que Pierre Thomas exerce sa fonction d’enseignement comme « lecteur », en 1338-1339. Puis, toujours à la demande de ses supérieurs, il rejoint l’université de Paris pendant cinq nouvelles années, pour devenir bachelier en théologie.

De retour dans sa province, il est élu procurateur en 1345 – c’est-à-dire représentant – de son ordre auprès du Saint-Siège. Il part donc rejoindre la Curie pontificale, qui se trouve alors en Avignon. Hélie Talleyrand, cardinal du Périgord, y remarque, outre ses capacités, la simplicité de sa vie. Il lui fait alors attribuer la charge de prédicateur apostolique – office qu’il exercera surtout après un nouveau séjour à Paris pour obtenir la maîtrise de théologie. Le pape Clément VI le nomme régent en théologie à son retour, trois ans plus tard : Pierre Thomas assiste désormais le « maître en théologie » en titre, qui est à la tête du département de curie traitant des affaires doctrinales soumises au pape. C’est à ce poste qu’il doit se prononcer, entre autres questions, sur la conception immaculée de la Sainte Vierge.

Clément VI mort, il accompagne sa dépouille mortelle jusqu’à l’abbaye de La Chaise-Dieu, probablement en 1353. C’est pour lui l’occasion de prêcher à chacune des douze étapes du voyage. Dès lors, Pierre-Thomas se consacre à accomplir les entreprises délicates que le Saint-Siège lui confie. C’est d’abord une mission diplomatique visant à apaiser les conflits entre Venise et Gênes d’une part, et entre la cour pontificale et celle de Naples d’autre part. En 1355, promu évêque de Patti et de Lipari, il se rend auprès du roi de Hongrie, Étienne Dusan, afin de tâcher de réconcilier les Églises locales avec Rome, mais la mort de celui-ci empêche son entreprise d’aboutir. En 1356, Innocent VI l’envoie résoudre le conflit hungaro-vénitien, ainsi que travailler à rendre effective l’union politico-religieuse proposée par l’empereur byzantin Jean V Paléologue. La première mission est un échec, mais la seconde lui permet d’obtenir la soumission de l’empereur (auquel il donne la communion eucharistique) à l’Église romaine.

En 1359, Innocent VI nomme Pierre Thomas évêque de Coron, au sud du Péloponnèse, et légat du Saint-Siège pour l’Orient. Cette même année, accompagné d’une flotte fournie par les Vénitiens et les Hospitaliers de Rhodes, Pierre Thomas part pour Smyrne, où il renforce les dispositifs de défense de la ville, règle la solde des soldats, s’assure du ravitaillement de la cité et s’assure qu’un nouveau gouverneur de la ville soit désigné. Puis il se rend à Constantinople et participe lui-même aux combats de Lampsaque – port sur l’Hellespont (aujourd’hui Lapseki). Quand Pierre Thomas apprend que Pierre Ier de Chypre, qu’il a laissé peu auparavant, a conquis Satalie (l’actuelle Atalya), il le rejoint pour consacrer des lieux de culte et organiser le clergé. Après une longue maladie, dont il attribue la guérison à saint Grégoire, il gagne Famagouste pour aller couronner Pierre Ier de Lusignan sous le titre de roi de Jérusalem. C’est le jour de Pâques 1360.

De même que Pierre Ier et son chancelier Philippe de Mézières, devenu l’ami de saint Pierre Thomas, ce dernier désire délivrer les lieux saints et rétablir le royaume de Jérusalem. Pendant trois ans, ils sollicitent l’aide des princes chrétiens. Pierre Thomas obtient du pape Urbain V l’approbation de son projet. Lors d’une cérémonie publique, en présence des cardinaux, Urbain V remet la « croix rouge d’Oultremer » au roi de France Jean II le Bon, au roi de Chypre et au légat, le cardinal Hélie Talleyrand. Le décès du roi de France à Londres en 1364 (le Prince Noir, le fils d’Édouard III, l’avait fait prisonnier), ainsi que celui du cardinal de Périgord, contraint le pape à remettre le commandement de la croisade au roi de Chypre ; Urbain V pense aussitôt à Pierre Thomas pour remplacer le légat défunt. Pierre Thomas est fait patriarche latin de Constantinople.

Pierre Ier n’a malheureusement pas l’aura du roi de France pour réunir argent et hommes d’armes. L’expédition est tout de même engagée : la flotte atteint Rhodes en juillet 1365. Avec les galères des Hospitaliers de Rhodes, les croisés comptent encore parmi eux la flotte en provenance de Chypre. Pierre Thomas les prépare au combat pour l’honneur de Dieu et les exhorte au sacrifice et à la victoire. Le 9 octobre 1365, tous arrivent dans le port d’Alexandrie. Pierre Thomas est au milieu de l’armée, tenant une croix dans les mains. La ville est prise le 11, puis pillée. Mais les croisés craignent les représailles des Sarrazins et, contre l’avis du roi de Chypre et de Pierre Thomas, qui les exhortent à demeurer dans la ville, la flotte chrétienne reprend la mer pour Chypre. Pierre Ier, Philippe de Mézières et Pierre Thomas sont très abattus. Urbain V, investi dans la croisade, et auquel le légat a écrit, ne l’est pas moins. Le légat se rend à Famagouste pour préparer son voyage à Avignon afin de rendre compte de vive voix au pape des événements et préparer la reprise de la croisade. Mais il y tombe malade à Noël 1365, ayant pris froid, et peut-être aussi à la suite d’une blessure reçue au siège d’Alexandrie : c’est pourquoi on l’a considéré comme martyr. Il meurt au milieu de ses frères carmes, assisté de Philippe de Mézières, témoignant qu’il ne s’attache qu’à Dieu seul, dans la nuit du 6 au 7 janvier 1366. Son corps reste exposé six jours dans le chœur de l’église conventuelle, sans manifester le moindre signe de corruption. Une foule se presse pour venir le toucher et le prier. Il est inhumé le 12 janvier. Des témoins relatent des guérisons et d’autres miracles après son enterrement. Ses qualités de prédicateur, ainsi que sa vie vertueuse et ascétique, engagent l’évêque de Famagouste, Simon de Laodicée, à entamer un procès canonique, et sa tombe est ouverte le 8 mai. Ses membres apparaissent encore flexibles. Pierre Ier prie alors Urbain V d’entamer une procédure de canonisation. En 1609, le pape Paul V confirme le culte rendu à Pierre Thomas, et Urbain VIII ratifie en 1628 son culte chez les carmes des diocèses de Sarlat et de Périgueux.

Aucune relique de saint Pierre Thomas n’a été conservée : la conquête de Chypre par les Turcs en 1571 et le tremblement de terre de 1735 ont effacé tout souvenir de lui. Cependant, l’église San Giovanni evangelista, à Venise, possède toujours le reliquaire de la Sainte Croix que Philippe de Mézières lui a légué en 1370 : saint Pierre Thomas lui en avait fait don avant de mourir. Lui qui voulait être inhumé à l’entrée du chœur de l’église, pour être souvent foulé aux pieds, ne nous montre-t-il pas ainsi qu’il convient de s’effacer devant Jésus-Christ – Jésus-Christ souffrant et nous rachetant – quel que soit l’éclat de la position qu’on a occupée dans le monde ?

Docteur en philosophie, Vincent-Marie Thomas est prêtre.


Aller plus loin :

À partir de l’article de Daniel Stiernon, o.c.d. : « Pier Tommaso » dans Ludovico Saggi, Santi del Carmelo : biografie da vari dizionari, Rome, Institutum Carmelitanum, 1972, 403 p., le site des religieux carmes de Nantes et d’Angers présente une notice sur la vie et l’œuvre de saint Pierre Thomas.


En savoir plus :

  • L’article du père Daniele Stiernon (en italien) : « San Pier Tommaso ».
  • Michel Bousserie, Pierre Thomas (1305 – 1366). L’appel de l’Orient, coll. « Sciences humaines. Religion », Paris,Publibook, 2005, 182 p.
  • Philippe de Mézières, o.c., Vita S. Petri Thomasii,... scripta ab... Philippo Mazzerio,... [et] Godefrido Henschenio, Anvers, 1659, 320 p.
  • Simon Martin et François Giry, minimes, Les Vies des saints dont on fait l’office dans le cours de l’année et de plusieurs autres..., tome I, Paris, 1683, 1836 colonnes, ici à la notice du 8 janvier sur saint Pierre Thomas, colonnes 184-194. Le livre peut être consulté sur le site de Gallica.
  • Johannes Hildesheimensis, o.c., Defensorium ordinis de monte Carmelo, édité par Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, tome I, Anvers, 1680, partie II, livre II, chapitre 5, p. 145-159. Le père Jean de Hildesheim a vécu au quotidien avec saint Pierre Thomas quand ce dernier enseignait en Avignon.
  • Arloldus Bostius, o.c., Speculum historiale sectatorum SS. Prophetarum Eliae et Elisei, 1491. L’auteur expose la vie et l’œuvre de saint Pierre Thomas au livre VIII, chapitres 26-46. Cf. Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, tome I, Anvers, 1680, où un résumé en est présenté à la partie II, livre XI, p. 290, n° 1186.
  • Id., De patronatu et Patronicio Beatissimae Virginis Mariae in dicatum sibi Carmeli Ordinem, édité dans Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, tome I, Anvers, 1680, partie III, livre II, p. 375-431. Le chapitre 12 traite de la piété de saint Pierre Thomas envers la Sainte Vierge (p. 420-425).
  • Johannes Carmessonius, o.f.m., Vita sancti Petri Tomae, éditée dans Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, tome II, Anvers, 1680, partie III, livre II, p. 171-195. Cette Vie a probablement été rédigée vers 1370. L’auteur, provincial des Franciscains de Terre sainte, s’est servi de la Vita de Philippe de Mézières, et son ouvrage constitue avec celle-ci la source la plus ancienne. Il avait côtoyé saint Pierre Thomas.
  • Lucas Waddingus, o.f.m., Vita sancti Petri Tomae, éditée dans Daniel a Virgine Maria, o.c.d., Speculum carmelitanum, tome II, Anvers, 1680, partie III, livre II, p. 198-213. Il s’agit de la réédition de la Vita B. Petri Thomæ Carmelitæ, patriarchæ Constantinopolitani, Lyon, 1637, publiée par le franciscain Luc de Wadding (1588 – 1657), savant écrivain prolifique qui fut professeur de théologie à l’université de Salamanque et à Rome.
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